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- Métier : chanteur
- Né(e) le : 11/10/1951
- Pays : France
- Signe : Balance
Jeunesse
Jean-Jacques Goldman est né le 11 octobre 1951 à Paris, en France. Il est le troisième enfant d’une famille d’origine juive polonaise. Son père, Alter Mojze Goldman, est un résistant et militant communiste, tandis que sa mère, Ruth Ambrunn, est une assistante sociale. Dès son plus jeune âge, Jean-Jacques est baigné dans un environnement culturel riche et diversifié.
Il grandit dans le quartier de La Varenne-Saint-Hilaire à Saint-Maur-des-Fossés. Passionné de musique, il commence à jouer du violon à l’âge de 5 ans, puis se tourne vers le piano et la guitare. Adolescent, il est influencé par des artistes comme Bob Dylan, The Beatles et Jimi Hendrix. Il forme son premier groupe, The Red Mountain Gospellers, à l’âge de 16 ans, avec lequel il joue principalement du gospel et du folk.
Après avoir obtenu son baccalauréat, Jean-Jacques poursuit des études de commerce à l’EDHEC de Lille. Parallèlement, il continue à jouer de la musique et à composer. C’est durant cette période qu’il rencontre Michael Jones, avec qui il collaborera plus tard dans sa carrière. En 1975, il rejoint le groupe Taï Phong, un groupe de rock progressif, en tant que chanteur et guitariste. Cette expérience lui permet de se faire un nom dans le milieu musical et de développer son style unique.
Début professionnel
Les débuts professionnels de Jean-Jacques Goldman sont marqués par son intégration au groupe Taï Phong en 1975. Le groupe connaît un certain succès avec des titres comme « Sister Jane » et « Games ». Cependant, Jean-Jacques ressent le besoin de s’exprimer en français et de développer une carrière solo. En 1981, il décide de se lancer en solo et sort son premier album, « Démodé ». Le succès est au rendez-vous avec des titres comme « Il suffira d’un signe », qui devient rapidement un tube.
En 1982, il sort son deuxième album, « Minoritaire », qui contient des chansons emblématiques comme « Quand la musique est bonne » et « Comme toi ». Ces titres rencontrent un immense succès et propulsent Jean-Jacques au rang de star de la chanson française. Il enchaîne les albums à succès avec « Positif » en 1984, qui inclut des hits comme « Encore un matin » et « Envole-moi ».
Jean-Jacques Goldman se distingue par son style musical unique, mélange de rock, de pop et de variété française, ainsi que par ses textes engagés et poétiques. Il devient rapidement l’un des artistes les plus populaires de sa génération, attirant un large public grâce à ses mélodies accrocheuses et ses paroles profondes. Sa carrière solo est également marquée par des collaborations avec d’autres artistes, comme Céline Dion, pour qui il écrit et compose plusieurs chansons à succès.
Carrière professionnelle
La carrière professionnelle de Jean-Jacques Goldman est jalonnée de succès et de collaborations prestigieuses. Après le succès de ses premiers albums, il continue à enchaîner les tubes avec des albums comme « Non homologué » en 1985, qui contient des titres phares comme « Je te donne » en duo avec Michael Jones, et « Entre gris clair et gris foncé » en 1987, avec des chansons comme « Là-bas » et « Puisque tu pars ».
En 1990, il forme le trio Fredericks Goldman Jones avec Carole Fredericks et Michael Jones. Le groupe connaît un immense succès avec des titres comme « Nuit » et « À nos actes manqués ». Ils sortent deux albums studio et un album live avant de se séparer en 1996. Parallèlement, Jean-Jacques continue sa carrière solo et sort l’album « En passant » en 1997, qui contient des chansons comme « Sache que je » et « On ira ».
Jean-Jacques Goldman est également un auteur-compositeur prolifique pour d’autres artistes. Il écrit et compose pour Céline Dion, notamment les albums « D’eux » en 1995 et « S’il suffisait d’aimer » en 1998, qui rencontrent un succès international. Il collabore également avec des artistes comme Johnny Hallyday, Patricia Kaas, et Florent Pagny.
En 2001, il sort l’album « Chansons pour les pieds », qui contient des titres comme « Et l’on n’y peut rien » et « Tournent les violons ». Cet album marque un retour aux sources pour Jean-Jacques, avec des chansons festives et dansantes. En 2002, il annonce qu’il met sa carrière solo entre parenthèses pour se consacrer à sa famille et à d’autres projets.
Vie privée
La vie privée de Jean-Jacques Goldman est marquée par une grande discrétion. Il se marie une première fois en 1975 avec Catherine Morlet, avec qui il a trois enfants : Caroline, Michael et Nina. Le couple divorce en 1997. En 2001, Jean-Jacques se remarie avec Nathalie Thu Huong-Lagier, une mathématicienne de 28 ans sa cadette. Ensemble, ils ont trois filles : Maya, Kimi et Rose.
Malgré sa notoriété, Jean-Jacques Goldman a toujours tenu à préserver sa vie privée et celle de sa famille. Il vit loin des projecteurs et des médias, préférant se consacrer à ses proches et à ses passions. En 2016, il annonce qu’il quitte la troupe des Enfoirés, dont il était le pilier depuis 1986, pour se consacrer pleinement à sa famille.
Jean-Jacques est également connu pour son engagement humanitaire. Il participe régulièrement à des concerts caritatifs et soutient diverses associations, notamment les Restos du Cœur. Son implication dans des causes sociales et humanitaires témoigne de sa générosité et de son désir de contribuer à un monde meilleur.
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